Le LagosPhoto Festival présente sa treizième édition intitulée « Remember Me – Liberated Bodies, Charged Objects ». L’événement LagosPhoto de cette année s’ouvre au grand public le 29 octobre 2022 à l’Alliance Française – Mike Adenuga Centre, 9 Osborne Rd, Ikoyi de Lagos et se termine le 12 novembre 2022. Les scènes d’exposition intègrent le Falomo Roundabout de Ikoyi. La célébration englobe un programme de connexion qui met en avant des expositions, ateliers, conversations, des projections de films et installations extérieures de grande envergure.
Le LagosPhoto Festival de 2022 présente « Remember Me – Liberated Bodies, Charged Objects » comme un examen croisé de l’impact des médias basés sur le point focal dans la formation, la chronique et la demande de mémoire à l’intérieur du corps et comment ceux-ci développent la zone locale et les personnalités individuelles.
Cet événement permettra en outre de découvrir les artistes-t-elle que Olaoluwa Adamu, Seun Adeniyi, Toyin Adedokun, Adesegun Adeokun, Yusuf Adesola, Jumoke Adeyanju, Taiwo Aina, Morenike Ajayi, Owoyemi Ajibola, Oluyomi Akinnagbe, Taoheed Bayo, Cercle d’Art des Travailleurs de Estate Congolaise, David Dawali, Benson Ibeabuchi, Femi Johnson, Danielle Mbonu, Oyedeji Mohammed, Oke Oluwasegun, Michael Jerry Opara, Adeolu Osibodu, Aghogho. Otega, Dafna Tal, Ebisike Valentine, Unachukwu Vincent, Hugo Weber, les photographes de Reuters, et les photographes du collectif Through the Lens.
Les ethnographes ont coutume d’apprécier le fantastique et un clan d’artisans contemporains travaillant sur l’Afrique et ses différentes diasporas se fixent sur la fantasmagorie et la prospective dans la gestion des questions contemporaines.
Cette répudiation de la vérité est mise à l’épreuve dans « Remember Me – Liberated Bodies, Charged Objects » afin d’accueillir le futur et le passé pour qu’ils explosent dans le présent. Les artistes de cet événement se connectent au langage de la photographie pour développer un autre dialecte pour notre engagement.
La restitution des biens culturels, de l’information, de l’histoire, de la mémoire et le sérieux de la vigilance dans l’Anthropocène sont les principaux problèmes de notre époque. La manière dont nous appréhendons et traitons ces problèmes importants et les soumettons à un engagement dialogique déterminera la manière dont nous façonnons le présent et assemblons nos perspectives.
Le cerveau humain enregistre et déchiffre des exemples vérifiables et fictifs à travers les yeux, l’appareil photo s’est également transformé en une expansion substantielle du cerveau humain pour mouler et ciseler des images. D’abord comme un document dévoué d’occasions et d’événements. Ensuite, comme un instrument de représentation émotionnelle et fictive qui nous fait basculer dans des univers imaginaires et oniriques.
Accidentellement, la caméra est devenue psychologique, l’augmentation qui nous aide aux souvenirs et nous permet de rêver, de partager des souvenirs, et d’envisager des univers clairs.
Tandis que la psyché humaine est le lieu d’échange et de vieillissement de souffles évidents.
Aujourd’hui, comme jamais auparavant, l’humanité s’est déplacée dans l’espace virtuel visuel où le langage visuel change et se développe à grande vitesse. Ces résultats concevables nous ont permis de libérer et d’augmenter potentiellement nos corps, de faire des expansions de nous-mêmes et d’avoir un impact fondamental sur la manière dont nous vivons et notre capacité d’auto-articulation en tant que société mondiale. Dans une période où le divertissement virtuel devient un atout pour les pétitions, la politique gouvernementale concernant les minorités dans la société, les droits civils, la stratégie ou l’activité politique.
À travers le festival LagosPhoto 2022, avec le thème « Remember Me – Liberated Bodies, Charged Objects », nous sommes invités à défier la subjectivité et à fabriquer de nouveaux modes gérables dirigés par une vision héréditaire et contemporaine.